et voilà/ ma fenêtre exposée plein sud a vu mes rozy des neiges fleurir vite, mourir vite.
le printemps reste la saison haute des suicides. Les pluies incessantes innondent la nature en éveil : mettons nous à leur place : après des mois de sommeil, qui n’aurait pas envie d’une bonne doudouche ? Vive donc la pluie, celle dedans laquelle nous chantons l’amououououour
et l’amour, comme dirait Bender, c’est du bruit Aussi comme je l’écrivais : l’amour c’est le bruit du stylo sur le papier, des doigts sur le clavier, des pieds dans les claquettes
l’amour est partout là où il y a de l’eau plic ploc plic ploc plic ploc plic ploc plic ploc plic plic ploc plic ploc ploc miam miam glouglou/ et voilà